slips d’hommes découverts chez un féticheur
351 slips d’hommes découverts chez un féticheur en Côte d’Ivoire
Les 351 slips d’hommes auraient été remis au prétendu féticheur par leurs épouses pour des raisons diverses.
Certaines personnes voulaient renforcer leurs relations, tandis que d’autres voulaient blesser leurs partenaires.
C’est l’une des femmes acculées par son église qui a révélé la nouvelle, et la descente policière sur les lieux a mis en lumière les pratiques illicites du féticheur.
La police a découvert 351 slips masculins au domicile d’un prétendu féticheur après qu’une femme a révélé à son église qu’elle avait donné au féticheur les sous-vêtements de son époux.
Une technique qui consiste à conquérir le cœur de l’homme et à en avoir le contrôle total.
Interrogé, l’homme qui s’est présenté comme un tradipraticien a dit avoir reçu de nombreuses femmes ayant des problèmes sentimentaux.
Dans la plupart des cas, ses clientes veulent un contrôle total sur leurs maris, il leur demande donc de ramener leurs slip afin qu’il puisse y travailler.
Les bons résultats de son travail, qui a fuité de bouche-à-bouche avec ses clientes, ont augmenté le nombre de visites ainsi que ses revenus financiers.
Mais, au-delà de la satisfaction de sa cliente, plusieurs hommes ont été abandonnés et victimes de leurs épouses.
L’une de ses clientes mettra un terme à ses prouesses fétichistes. Sous la domination absolue de cette dernière, l’époux était venu à la conclusion qu’il avait négligé sa famille et ses propres enfants issus d’un précédent mariage.
Cela a incité ses derniers à se plaindre auprès de leur pasteur d’église , où le féticheur priait tout de même.
Les intercesseurs ont pu épingler une femme qui n’avait d’autre choix que d’admettre qu’elle avait trompé son mari.Elle a emmené son mari et les flics chez ledit tradipraticien après son témoignage.
Les autorités ont saisi un total de 351 slips masculines, dont les propriétaires étaient sans aucun doute dominés par leurs partenaires féminines. Conduit vers un commissariat, le tradipraticien n’a pas nié les faits.